La complexité du droit de la sécurité routière représente un véritable casse-tête pour beaucoup de victimes d’accidents de la route. En réalité, le chemin du recours à un assureur pour l’indemnisation est parfois long et leur état ne facilite pas non plus les choses. Déjà affaiblies physiquement et psychologiquement, les victimes n’ont souvent pas les moyens de prouver les dommages causés à leur personne auprès de l’assureur. La meilleure solution est de faire appel à un avocat spécialisé en la matière. Il s'agit d'une alternative efficace qui présente de nombreux avantages.
L’avocat dispose des compétences nécessaires pour un accompagnement de qualité
L’accompagnement des victimes d’accidents de la route nécessite des compétences en droit pénal routier, en droit civil de la responsabilité et en droit des assurances. En plus, le professionnel doit intervenir à toutes les étapes de la procédure, notamment en ce qui concerne les démarches administratives, l’assistance juridique, le règlement à l’amiable, la gestion du contentieux et même l’admission à l’hôpital. Seul un professionnel du droit des victimes d’accident, comme cet avocat, est en mesure d’offrir un tel accompagnement.
L’avocat permet d’obtenir des indemnisations plus conséquentes
En faisant appel à un avocat dans une procédure d’indemnisation à la suite d’un accident de la route, les victimes s’en sortent avec une marge pouvant aller à 30 % plus que ce qu’ils obtiendraient avec des négociations entre assureurs. C’est un avantage considérable qui permet aux victimes se prendre en charge convenablement après un accident de la route.
L’avocat représente la victime dans le procès
Dans certains cas, les choses ne se passent pas comme prévu lors des négociations et les deux parties sont obligées de se présenter au tribunal pour un procès. Pour réussir l’action judiciaire, l’avocat est le professionnel qualifié pouvant défendre convenablement la victime et lui obtenir gain de cause. Il pourra par exemple saisir un juge pour faire venir un médecin expert afin de prouver, à travers un rapport médical impartial, les dommages corporels et la nécessité d’obtention d’une indemnisation.
